En partance – Essai d’une filmothèque idéale 8/10

Que serait une filmothèque idéale sans une série consacrée à ces fameuses « madeleines » dont parlait Marcel Proust ? Les voici, avec dix films qui, s’ils ne sont peut-être pas toujours du meilleur goût, ont marqué ma jeunesse – et dont chaque nouvelle vision m’apporte toujours autant de plaisir parfois teinté de nostalgie.

VIII] Madeleines 

Les 101 Dalmatiens 

(Clyde Geronimi, Hamilton Luske et Wolfgang Reitherman, 1961)

Charade

(Stanley Donen, 1962)

Astérix et Cléopâtre

(René Goscinny, Pierre Tchernia et Albert Uderzo, 1968)

Le Charme discret de la bourgeoisie

(Luis Bunuel, 1972)

The Rocky Horror Picture Show

(Jim Sharman, 1975)

Un éléphant, ça trompe énormément 

(Yves Robert, 1976)

L’Empire contre-attaque

(Irvin Kershner, 1980)

The Blues Brothers

 (John Landis, 1980)

Le Père Noël est une ordure

 (Jean-Marie Poiré, 1982)

Qui veut la peau de Roger Rabbit ?

(Robert Zemeckis, 1988)

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