Top des films américains d’Alfred Hitchcock
1) Vertigo (1958)
2) Fenêtre sur cour (1954)
3) La Mort aux trousses (1959)
4) L’Inconnu du Nord-Express (1951)
5) Les Oiseaux (1963)
6) L’Ombre d’un doute (1943)
7) Les Enchaînés (1946)
8) Psychose (1960)
9) Rebecca (1940)
10) Pas de printemps pour Marnie (1964)
Je ne souhaite pas faire ici de long commentaire quant à ce classement des œuvres américaines d’Alfred Hitchcock – l’un de mes réalisateurs préférés – car il a essentiellement vocation à servir d’introduction à un texte (qui sera publié vendredi 12 mars) concernant sa carrière hollywoodienne et, donc, à préciser mes goûts la concernant ; quelques remarques tout de même :
1) Je préfère nettement (compte non tenu de la période allant du Rideau déchiré – 1966 – à Complot de famille – 1976) la seconde moitié de son parcours hollywoodien à la première, pourtant déjà riche.
2) J’en profite pour redire tout mon amour pour Vertigo qui occupe évidemment la première place et est peut-être mon film préféré.
3) Je tiens également les quatre films qui suivent pour de vrais chefs d’œuvre jugeant toutefois Fenêtre sur cour et La Mort aux trousses un peu plus importants que L’Inconnu du Nord-Express et Les Oiseaux.
4) Derrière ces cinq monuments, les choix furent plus difficiles. J’accorde la sixième place à L’Ombre d’un doute pour lequel j’ai une sympathie toute particulière. Il devance Les Enchaînés et Psychose. J’aime beaucoup ces deux films mais je les place donc sans doute un peu moins haut que nombre d’amateurs d’Hitchcock.
5) Pour finir ce top dix, j’ai choisi Rebecca et Pas de printemps pour Marnie. On voit donc, d’une part, que mes options concernant Hitchcock sont assez classiques – à l’exception peut-être de l’absence des Amants du Capricorne (1949) que je n’apprécie que modérément – et, d’autre part, que le « maître du suspense » a su réaliser de grands films tout au long de sa carrière américaine (du moins avant que ne s’écroule le système des studios) bien que je considère qu’il ait connu son pic de créativité dans la seconde moitié des années 1950.
Ran
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