Panique au Village
Dans un village de jouets des années 50, Co-boy et Indien ont oublié l’anniversaire de Cheval. Ils décident de lui construire un barbecue. Les conséquences : destruction de la maison, destruction du tracteur de Steven, le voisin et guerre avec les Atlantes. Co-boy et Indien auraient mieux fait de lui offrir une casquette.
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Panique au Village est l’adaptation en long-métrage d’une série d’animation belge dont les épisodes font rarement plus de 5 minutes. Les personnages sont des petits bonshommes en plastique sur des socles et des animaux de la
ferme en plastique aussi. Le tout est un film en 16 images 12 images dédoublées par seconde, saccadé par conséquent, voix accélérées et délire cartoonesque qui va avec.
Difficile de faire une petite note sur un film que l’on a vu dans de mauvaises conditions[1], mais j’ai quand même pu apprécier les éructations permanentes de Steven le paysan (« qu’est-ce que c’est ? Tu veux casser ma porte ?!! »), avec la voix de Benoit Poelvoorde en grande forme. Et puis il y a cet extraordinaire combat final où les vaches sont des projectiles.
Steven et son tracteur
Panique au Village (2007) de Vincent Patar et Stéphane Aubier
Note de nolan : 2
[1] Une tripotée d’enfants de 3-4 ans et leurs parents condescendants qui n’ont pas pu voir Piccolo, Saxo et Cie ont été redirigés vers la séance de ce film qui s’adresse à des spectateurs de plus de 7 ans. Nous avons donc eu droit à une séance de débat parlementaire à base de « pourquoi il fait ça » toutes les 5 secondes. Grrr…
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