En partance – Essai d’une filmothèque idéale 10/10
Ultime section de cette filmothèque idéale. Au final, elle compte donc cent films mais, ayant décidé de garder le meilleur pour la fin, je présente ici ce qu’elle aurait sans doute été si je m’étais initialement résolu à la réduire à seulement dix œuvres. La crème de la crème, en somme…
X] Et s’il n’en restait que dix…
L’Aurore
(Friedrich Wilhelm Murnau, 1927)
(Jean Renoir, 1939)
(Billy Wilder, 1944)
Les Contrebandiers de Moonfleet
(Fritz Lang, 1954)
Une œuvre à part : Les Contrebandiers de Moonfleet, 1ère partie - 2ème partie
(Alfred Hitchcock, 1958)
Fantasmes et amours perdus - Vertigo : le fantasme de la mort
h) « Pourquoi suis-je si belle ? »
(Stanley Kubrick, 1968)
(Michelangelo Antonioni, 1970)
Fantasmes et amours perdus - Zabriskie Point : le fantasme du moment
a) Un Européen en Amérique : un point de rencontre
b) « Allons nous habiller et nous déshabiller »
(Francis Ford Coppola, 1979)
(Tim Burton, 1992)
(Wong Kar Wai, 2004)
Fantasmes et amours perdus - 2046 : le fantasme du temps
c) Su Li Zhen : « J’ai dans les bottes des montagnes de questions où subsiste encore ton écho »
d) Bai Ling: « L’amour physique est sans issue »
e) Wang Jin Wen : « Une petite antipathie physique » ?
f) L’autre Su Li Zhen : L’impossibilité du double
g) En/dans 2046
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