2. Le programme
Liens généraux :
Les pages spéciales :
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Woody Allen (avec un peu de Scarlett) |
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Essai d'une filmothèque idéale
Le programme d'Antoine Rensonnet (Ran) :
note de nolan : les textes sans lien ne sont pas encore publiés ou pas écrits.
Histoire et théorie générale du cinéma
I - Le XXe siècle, ère des masses et de l’individu (point historique)
III - Le cinéma, art du XXe siècle
IV - Un art vampire
V - L’âge d’or
VI - Le cinéma aujourd’hui : de son cœur le vampire…
La partie est le tout : Illustration de la théorie à travers le personnage du vampire dans l’histoire du cinéma
I - Un mythe venu de la littérature
II - Naissance d’un art : Nosferatu de Friedrich Wilhelm Murnau (1922)
III - A travers les champs culturels : chefs d’œuvre, films de séries, sous-genres
IV - Dracula de Francis Ford Coppola (1992) : de son cœur le vampire…
Un auteur, une œuvre
1er cycle
- Batman, le défi (Tim Burton, 1992), Batman/Catwoman, une relation érotico-politique
- Burn after reading (Joel Coen, 2008),quand la tragédie devient farce
- Le crime de monsieur Lange (Jean Renoir, 1935), communiste ou anarchiste ?
- Full metal jacket (Stanley Kubrick, 1987), violence de l’homme et de la sociéte : une synthèse
- Tartuffe (Friedrich Wilhelm Murnau, 1925), désir et (anti)catholicisme
- Assurance sur la mort (Billy Wilder, 1944), être et/est/ou consommer
- La mort aux trousses (Alfred Hitchcock, 1959), un film palimpseste
- Chien enragé (Akira Kurosawa, 1949), un auteur au croisement d’influences
- Zelig (Woody Allen, 1983), l’éternel numéro 2
- Three times (Hou Hsiao Hsien, 2005), les chansons d’amour...
2e cycle
- L’homme qui tua Liberty Valance (John Ford, 1961) : Le début de l’histoire
- Impitoyable (Clint Eastwood, 1992) : Construction et déconstruction de mythes
- Winchester 73 (Anthony Mann, 1950) : Le mythe de la conquête
- Alexandre Nevski (Sergueï Mikhailovitch Eisenstein, 1938) : Passé et présent
- Les fraises sauvages (Ingmar Bergman, 1957) : Une vie au passé
- L’impossible monsieur Bébé (Howard Hawks, 1938) : L’art de la comédie
- Alphaville (Jean-Luc Godard, 1938) : Le sublime et le grotesque
- Fellini-Satyricon (Federico Fellini, 1969) : Images d’un monde sans Dieu
- Les temps modernes (Charlie Chaplin, 1936) : Le mal de la parole
- Elephant (Gus Van Sant, 2003) : Regarder sans juger
3e cycle
- eXistenZ (David Cronenberg, 1999) : L’organique virtuel
- Blade Runner (Ridley Scott, 1982) entre science-fiction et film noir :
2) Esthétique(s): la création d'un monde clos
- Le Samouraï (Jean-Pierre Melville, 1967) : Raideur et solitude
- Ghost Dog (Jim Jarmusch, 1999) : Souplesse et rencontres
- Ma nuit chez Maud (Eric Rohmer, 1969) : Rêve d’un Dieu non mort, le pari de Pascal
- Jour de colère (Carl Theodor Dreyer, 1943) : Rêve d’un Dieu non mort, illusions protestantes
- Agent trouble (Jean-Pierre Mocky, 1987) : De la nécessité de se donner les moyens…
Via la rubrique Bribes et Fragments :
- Lost Highway (David Lynch, 1997) : un tore visuel
- Pickpocket (Robert Bresson, 1960) : Rêve d’un Dieu non mort, le syndrome de Dostoïevski
- Le Caïman (Nanni Moretti, 2006) : Grandeur du film politique. Un retournement dialectique Un hymne à l'Italie Une curieuse équivalence
Autour de Fritz Lang et des Nibelungen (1924) : Constantes et variations d’une œuvre majeure
II - Pourquoi choisir Les Nibelungen ?
III - Les Nibelungen : la vengeance de Kriemhild (Fritz Lang, 1924), l’humain chez Lang : première vision
Retour sur Fritz Lang
2) Le tournant de M le maudit (1931)
3) Les premiers films américains
5) Le recours à la psychologie, 1ère partie
5) Le recours à la psychologie, 2ème partie
5) Le recours à la psychologie, 3ème partie
6) Une œuvre à part : Les contrebandiers de Moonfleet (1954), 1ère partie
6) Une œuvre à part : Les contrebandiers de Moonfleet (1954), 2ème partie
7) L’abandon des idéaux : Introduction
7) L’abandon des idéaux : L'Ange des maudits (1952)
7) L’abandon des idéaux : Règlement de comptes (1953)
7) L’abandon des idéaux : L'Invraisemblable vérité (1956) et conclusion
8) Le retour en Allemagne : la boucle bouclée ? Le Tombeau Hindou et le Tigre du Bengale (1)
8) Le retour en Allemagne : la boucle bouclée ? Le Tombeau Hindou et le Tigre du Bengale (2)
8) Le retour en Allemagne : la boucle bouclée ? Le Diabolique Dr Mabuse
Appendice : Fritz Lang, bibliothèque et DVDthèque
Fantasmes et amours perdus
Autour de la problématique centrale de l’amour et du temps, un triptyque à partir de trois films : Zabriskie Point (Michelangelo Antonioni, 1970), 2046 (Wong Kar Wai, 2004), Vertigo (Alfred Hitchcock, 1958). Les deux volets périphériques abordent deux visions antagonistes, l’une, Zabriskie Point, (un peu) optimiste, l’autre, Vertigo, (franchement) pessimiste. Le volet central est consacré à 2046, premier évident chef d’œuvre du second siècle du cinéma.
I - Zabriskie Point : le fantasme du moment
a - Un Européen en Amérique : un point de rencontre
b - « Allons nous habiller et nous déshabiller »
II - 2046 : le fantasme du temps
c - Su Li Zhen : « J’ai dans les bottes des montagnes de questions où subsiste encore ton écho »
d - Bai Ling : « L’amour physique est sans issue »
e - Wang Jin Wen : « Une légère antipathie physique » ?
f - La deuxième Su Li Zhen : L’impossibilité du double
g - En/dans 2046
III - Vertigo : le fantasme de la mort
h - « Pourquoi suis-je si belle ? »
i - L’amour-monstre
Stanley Kubrick, thématiques
1) L’échec du plan parfait
2) Le langage et la communication
Introduction.
Film par film :
L'Ultime Razzia, Les Sentiers de la gloire, Docteur Folamour.
2001, L'Odyssée de l'espace, Orange mécanique, Barry Lyndon.
Shining, Full Metal Jacket, Eyes Wide Shut.
Quelques conclusions partielles.
3) La nature humaine, entre absolu et trivialité
Pourquoi une telle omniprésence de la trivialité ?
Approche de la nécessité et de la conception du geste artistique selon Stanley Kubrick
L’invention d’une modernité cinématographique : Vers le Beau absolu ?
Barry Lyndon, destin et ordre social
1) S’élever…
A travers l’âge d’or hollywoodien
1) Le western : une cosmogonie américaine
2) Le film noir : reflets sociaux
3) Alfred Hitchcock : le maître
Espaces au cinéma
1) Un pur objet de cinéma
2) Joel et Ethan Coen : La maîtrise des grands espaces
3) Tim Burton : Un espace claustrophobe
4) Fritz Lang : L’opposition verticale
5) Friedrich Wilhelm Murnau : L’opposition horizontale
Tetro, tentative d’approche
1) Tuer le frère 1ère partie - 2e partie
3) Du cinéma en liberté 1ère partie - 2e partie
Textes divers
2001, odyssée de l'espace (Stanley Kubrick, 1968) : un film pour tous et pour personne
Les infiltrés (Martin Scorsese, 2006) : homosexualité et incomplétude Colin Sullivan/Matt Damon
The Dark Knight (Christopher Nolan, 2008)
L’étrange cas du Docteur Jekyll et de Mister Hyde : Une adaptation ratée ou l’anti-Dracula
La règle du jeu (Jean Renoir, 1939) : Quel centre pour la règle ?
Macbeth ou le carrefour du génie (William Shakespeare, Orson Welles et Akira Kurosawa)
Le samouraï chez Akira Kurosawa : entre Shakespeare et le western
Mort ou Vif : le western hamburger (par nolan)
La Science Fiction : un genre ? Des codes et des représentations
The Barber, l'homme qui n'était pas là (Joel et Ethan Coen, 2001) :
I - Un parfait hommage au film noir
II - Réflexions autour d’un titre
The big Lebowski (Joel et Ethan Coen, 1998) :
I - Une oeuvre parfaitement coenienne
III - Un film euphorisant et… rassurant
Arizona Junior (Joel et Ethan Coen, 1998) : Nous sommes tous des enfants
No country for Old men (Joel et Ethan Coen, 2007) :
A serious man (Joel et Ethan Coen, 2010) :
Mauvaises nouvelles des étoiles 1
Mauvaises nouvelles des étoiles 2
Apocalyspe Now (Francis Ford Coppola, 1979)
Aryan Papers (Stanley Kubrick) : The greatest movie never made ?
Lolita (Stanley Kubrick, 1962)
Fenêtre sur cour (Alfred Hitchcock,1954) : Un si aimable diverstissement ...
Taxi Driver (Martin Scorsese, 1976) : le lien brisé
L'homme Invisible (James Whale, 1933)
Stalker (Andreï Tarkovski, 1979) : « Au bout du compte, tout a un sens »
The Tree of Life (Terrence Malick, 2011) : De l’évidence…
Artiste, homme et personnage :
1) Woody Allen/Scarlett Johansson partie 1, partie 2, partie 3
2) Clint Eastwood : Le Surhumain à rebours partie 1, partie 2
Réflexions pointues sur films obtus par nolan et Antoine
Bad Boys II, la séquence du Hummer ou l'Amérique de Michael Bay
Le Père Tranquille : Résistance, Famille, Patrie
Pourquoi il est hors de question que j'aille voir Le Petit Nicolas
Les maux du cinéma français contemporain
Taken ou la France de Luc Besson
Pourquoi il est hors de question que j'aille voir La Rafle
Le Livre d'Eli ou l'improvisation dans les blockbusters
The Expendables : humour, année zéro
Joseph et la Fille ou le bavardage de la mort
Tron l'héritage : le tunnel narratif du Mont Blanc
Fast and Furious 5 : Jésus, la finesse et l'introspection
La planète des singes - les origines : la révolution pour les nuls
L'oiseau : pour ou contre Mizoguchi ?
21 Jump Street : une mauvaise idée peut-elle faire un bon film ?
Blanche-Neige et le chasseur : l'inspiration par le vide
Total Recall, Mémoires programmées : ces films d'actions qui devraient durer une heure
Samsara, le film pour les vieux qui parlent
Man of Steel : arme de destruction massive mais pour la paix
The Amazing Spider-man 2 : E pointé
Interstellar : l'amour chez les humains, l'humour pour les robots