/image%2F0548436%2F201304%2Fob_6420ddf368b64d80becd99764ea4cb1a_logobis2.png)
Articles avec #textes divers tag
/idata%2F3207051%2Ffilms-anciens%2Fbig-Lebowski%2F3%2FTBL-23.jpg)
The Big Lebowski (3) : Un film euphorisant et… rassurant
The Big Lebowski, septième opus des frères Coen et leur deuxième pure comédie après Arizona Junior. Sans aucun doute, leur plus parfaitement maîtrisée et l’une de leurs plus grandes œuvres. Cela méritait donc bien un assez long retour – en trois parties...
Partager cet article
/idata%2F3207051%2Ffilms-anciens%2Fbig-Lebowski%2F2%2FTBL-10.jpg)
The Big Lebowski (2) : Une parfaite comédie
The Big Lebowski, septième opus des frères Coen et leur deuxième pure comédie après Arizona Junior. Sans aucun doute, leur plus parfaitement maîtrisée et l’une de leurs plus grandes œuvres. Cela méritait donc bien un assez long retour – en trois parties...
Partager cet article
/idata%2F3207051%2Ffilms-anciens%2Fbig-Lebowski%2F1%2FTBL-1.jpg)
The Big Lebowski (1) : Une œuvre parfaitement coenienne
The Big Lebowski, septième opus des frères Coen et leur deuxième pure comédie après Arizona Junior. Sans aucun doute, leur plus parfaitement maîtrisée et l’une de leurs plus grandes œuvres. Cela méritait donc bien un assez long retour – en trois parties...
Partager cet article
/idata%2F3207051%2Ftxt-divers%2Fspecial-Coen%2FBarber%2FTB15.jpg)
The Barber, l’homme qui n’était pas là (3)
The Barber, l’homme qui n’était pas là ; soit la nécessité pour Ed Crane d’affirmer son « Je ». Condamné à mort, il y arrivera. Il n’en restera pas moins totalement impénétrable pour un spectateur qui ne peut, malgré ses efforts, éprouver d’empathie pour...
Partager cet article
/idata%2F3207051%2Ftxt-divers%2Fspecial-Coen%2FBarber%2FTB8.jpg)
The Barber, l’homme qui n’était pas là (2)
The Barber, l’homme qui n’était pas là ; un titre énigmatique et poétique avec son ajout français intéressant et surtout ce sous-titre qui, rapporté à l’univers des frères Coen, offre sans conteste bien des clefs de l’œuvre. Mais celle-ci garde, comme...
Partager cet article
/idata%2F3207051%2Ftxt-divers%2Fspecial-Coen%2FBarber%2FTB1.jpg)
The Barber, l’homme qui n’était pas là (1)
The Barber, l’homme qui n’était pas là ; un film noir, assurément. Un exercice de style, évidemment, parfaitement maîtrisé par les frères Coen. Mais aussi bien plus que cela ce qui mérite donc un assez long détour sur cette œuvre majeure. -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------------...
Partager cet article
/idata%2F3207051%2Ftxt-divers%2FMort-Edwards%2FBE1.jpg)
Mort de Blake Edwards
Toute flegmatique qu’elle soit, la panthère rose est en deuil. Car Blake Edwards est mort ; et il était notamment l’un des plus grands de la comédie américaine grâce donc à la longue série des Panthère rose – avec son génial comparse Peter Sellers dans...
Partager cet article
/idata%2F3207051%2Ftxt-divers%2Fspecial-kubrick%2Ftrivialite-et-absolu%2F8%2FTASK-77.jpg)
Stanley Kubrick, thématiques : La nature humaine, entre trivialité et absolu (8)
Du geste créatif de Stanley Kubrick, on dira qu’il essaie de tendre vers l’Absolu artistique. Et pourtant la trivialité est omniprésente dans ses films. Peut-être est-ce le plus grand paradoxe de son œuvre. Cela mérite de tenter de l’approcher pour remarquer...
Partager cet article
/idata%2F3207051%2Ftxt-divers%2Fspecial-kubrick%2Ftrivialite-et-absolu%2F7%2FTASK-69.jpg)
Stanley Kubrick, thématiques : La nature humaine, entre trivialité et absolu (7)
Du geste créatif de Stanley Kubrick, on dira qu’il essaie de tendre vers l’Absolu artistique. Et pourtant la trivialité est omniprésente dans ses films. Peut-être est-ce le plus grand paradoxe de son œuvre. Cela mérite de tenter de l’approcher pour remarquer...
Partager cet article
/idata%2F3207051%2Ftxt-divers%2Fspecial-kubrick%2Ftrivialite-et-absolu%2F6%2FTASK-53.jpg)
Stanley Kubrick, thématiques : La nature humaine, entre trivialité et absolu (6)
Du geste créatif de Stanley Kubrick, on dira qu’il essaie de tendre vers l’Absolu artistique. Et pourtant la trivialité est omniprésente dans ses films. Peut-être est-ce le plus grand paradoxe de son œuvre. Cela mérite de tenter de l’approcher pour remarquer...
